Introduction
J'ai assisté mardi soir à la conférence du même nom animée à Paris par Michel Goldenberg. Le sujet principal était la maîtrise du degré de motivation d'une équipe de développement au cours du cycle de vie d'un produit logiciel. Si Scrum propose un cadre pour gérer le suivi d'un projet, il ne répond pas à la question des moyens dont peuvent disposer un Scrum Master et une équipe pour agir sur la motivation et les performances.
J'ai assisté mardi soir à la conférence du même nom animée à Paris par Michel Goldenberg. Le sujet principal était la maîtrise du degré de motivation d'une équipe de développement au cours du cycle de vie d'un produit logiciel. Si Scrum propose un cadre pour gérer le suivi d'un projet, il ne répond pas à la question des moyens dont peuvent disposer un Scrum Master et une équipe pour agir sur la motivation et les performances.
A l'opposé d'une attitude managériale du type "Command & Control", le manifeste agile privilégie l'auto-organisation des équipes et la responsabilisation de leurs membres : l'objectif commun est de fournir un logiciel qui fonctionne et utile pour les utilisateurs en respectant les délais. Cela part d'un bon sentiment, l'objectif est lui-même louable, malheureusement peut-on dire que le concept tiendra en haleine la motivation des développeurs, après des mois, voire des années à suivre le cérémonial de Scrum ? En pratique, que constate-on ? Et si la démotivation doit à terme gagner les esprits comme c'est le cas dans toutes les équipes de par le monde, comment peut-on y remédier ?
Je vais donc essayer de répondre à ces questions en quelques articles, en reprenant les informations échangées lors de cette conférence.
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